Bin tiens
On peut partie des jours et des jours sans une trace, sans un mot et que pouic, personne ne s'en émeut.
Mon week-end sur la Côte d'Opale s'est évidemment très bien passé, le pot'je en compagnie des notables et bourgeois de la région fut un agréable moment et le Suisse a essayé une faluche qui était du plus bel effet.
Les hasards de la vie ont fait que nous y avons rencontré un ami intime de mon supérieur hiérarchique direct, accessoirement fournisseur de barbaque pour la secte paternelle depuis quatre ans.
Il m'a dit que mon chef était particulièrement humain ( chef qui avait conseillé à un collègue depressif d'aller "aux putes" pour se détendre ) et m'a demandé de lui passer le "bonjour d'Edmond".
Cette ville est le centre du monde et le monde l'ignore.
Je lis toujours et encore la Veuve de papier de John Irving. Je me cache dans le RER pour que personne ne puisse lire par dessus mon épaule les scènes de sexe et de masturbation et comme il y en a toutes les deux ou trois pages, je passe le temps du trajet toute voutée et tordue.
Mais à part ça, c'est pas mal du tout. Et c'est je crois le seul livre de l'auteur dont le personnage principal est une femme - Et je m'en aperçois après 500 pages.
Oui ça fait un peu moins de 200 pages avec du kiki dedans.